- À propos de « Sa Majesté Catherine-la-petite contre l’ordre des choses » :
« Une belle histoire pour les adultes. Une belle histoire pour les plus jeunes, les futurs adultes de demain. Un beau rappel du temps précieux à accorder à nos petits. À donner ou lire avec des enfants. »

- À propos du recueil de poésie « De sang, de neige et de vent » :
« De sang, de neige et de vent », une œuvre poétique et autobiographique qui se lit comme l’eau d’un ruisseau qui coule en passant par tous les paysages de la vie. Du premier au dernier poème, les mots nous font découvrir non seulement la vie de l’autrice […], mais aussi son grand talent de poétesse. J’ai lu et relirai encore ce recueil de poésie avec autant d’émotions qu’à la première lecture. »

- « À propos de la réédition de « Romance noire en deux mouvements »
« Je dirais que SUBLIME est le qualificatif qui me vient spontanément à l’esprit […]il y a presqu’un lien à faire ici avec le concept freudien de sublimation, [c’est-à-dire] la déviation d’une pulsion possiblement agressive, en l’occurrence l’horreur d’une situation incestueuse, dans une création littéraire de haut niveau. […] Il y a longtemps que je n’avais pas lu une œuvre littéraire aussi bien écrite ! »

- À propos d’« Au temps de la Cabane à tabou » :
. « L’ignorance et la peur sont bien démontrés dans [le récit]. Le milieu clos, où l’étranger, venu de loin ou du plus près, par sa différence, est bien décrit. C’est poignant. »

« Au temps de la Cabane à tabou nous interpelle sur deux thèmes très actuels : l’accueil des migrants et les problèmes de pédophilie dans les milieux ecclésiastiques et enseignants. […] Il s’agit là d’une pièce intéressante et agréable à lire, qui sort des clichés habituels sur de tels sujets. »

J’ai beaucoup apprécié la place centrale que prenaient les thèmes de la liberté et de l’organisation du monde, dès les premières pages du roman. Je les trouve très pertinents pour un public tant jeune qu’adulte. […] Le langage des enfants n’est pas enfantin, mais les gestes qu’ils posent sont crédibles tout au long de l’intrigue. […] J’ai beaucoup aimé comment le besoin d’une utopie est expliqué et comparé à la vie après la mort et [à] la vie extraterrestre. »

« Voilà un titre bien senti, tout à fait savoureux, qui ne perd rien à être développé en 34 courts chapitres nous menant de l’Arche de Noé à la Tchoukhénie, cette planète imaginaire et merveilleuse accessible au moyen du vaisseau KATIA. […]voilà bien la vie entière qui se déroule sous nos yeux, dans un style impeccable, limpide, sans fausse note aucune. Un plaisir assuré pour gens de tous âges, et même nécessaire, car « [P]our vivre, il faut manger, mais on ne peut pas apprendre à vivre sans les mots. » (p. 86) »

- À propos de « République du Nulle-part » :
. « [J’]ai beaucoup apprécié votre texte, les soins que vous portez à choisir chaque mot et la poésie de vos métaphores. […] Le roman est […] très bien structuré et la structure interne de chacune des parties, bien que différente d’une à l’autre, est suffisamment solide pour unifier le tout. L’alternance entre plusieurs temps et diverses structures narratives rythme la lecture sans nuire à la linéarité du récit. […] vous maîtrisez la langue à la perfection. »

« […] Tout d’abord, je dois dire que la façon d’écrire, les expressions et les mots choisis de l’auteure, dans ce roman, font appel à l’intelligence du lecteur. […] Quant au contenu, il a suscité en moi de nombreux sentiments. Je pense qu’il m’a fallu une certaine dose de courage pour aller jusqu’à la fin […] de ce roman, et que dire du courage de celle qui l’a écrit. […] Je pense qu’on a tout intérêt à poursuivre jusqu’à la fin notre lecture, d’autant plus que la conclusion vient donner tout son sens au roman et surtout nous amène beaucoup d’espoir et de lumière au bout du tunnel. »

« Du point de vue du ‘contenu’, j’avoue que je suis resté ‘accroché’ […], du début à la fin. Je n’ai jamais eu le goùt d’abandonner ou de laisser tomber, ce qui est excellent. […] Il y a là une pénétrante analyse des rapports humains. […] J’ai particulièrement été fasciné par la fin de ce beau roman. »

- À propos de la lecture publique du poème « Ils » :
« J’ai été extrêmement impressionnée par le poème lui-même, mais également par ce que vous dégagez en le lisant. Je ne m’attendais pas à autant de présence j’oserais dire dramatique. Du grand art, l’expérience m’a rappelé à quel point le lien vivant est essentiel pour la transmission de la pensée et de l’émotion. »

- À propos du balado « Avez-vous lu Geneviève Manceaux ? »
« J’ai enfin eu la chance d’écouter votre podcast et je dois vous avouer être impressionnée par les informations que j’y ai apprises à votre sujet. Le format de l’entretien me semble bien personnaliser la figure de l’autrice et répondre à ce désir toujours présent chez les lecteurs … […] à titre de simple auditrice et lectrice, cette écoute a suscité beaucoup d’intérêt et de curiosité chez moi. Bravo et félicitations ! »